Mes débuts (suite ) - lui

Catégories : Rencontres BDSM
il y a 5 ans

Je l'ai attachée les mains et les pieds en croix maintenus à des poteaux à l'aide de cordes, les yeux bandés.

J'ai décidé aujourd'hui de l'initier aux joies que peut lui offrir son anus. Elle m'a exprimé son refus catégorique la première fois que j'ai essayé. Je sais donc que je vais devoir y aller par étapes.

Pour commencer je me suis placé derrière elle. Ma main légèrement serrée sur sa gorge, Je l'ai embrassé dans la nuque. Elle est déjà toute électrique et je dois bien avouer que cela m'excite, d'ailleurs elle doit le sentir à mon sexe gonflé sous mon pantalon contre ses fesses. Ma main descend le long de son cou, je tire légèrement sur la chaîne des pinces qui mordent ses tétons. Le pouce et l'index de mon autre main s'activent sur son clitoris. Elle est très, très réceptive à ce doux châtiment. Elle se cambre, pousse son sexe en avant, vers mes doigts qui roulent son excroissance de chair.

Je la pousse lentement mais sûrement vers un futur orgasme. Ma bouche relâche sa nuque pour mordiller son postérieur. Je relâche l'étreinte de son bonbon rose pour plaquer ma main entre ses jambes. Elle mouille si fort que ma main en est rapidement trempée. Je la frotte d'avant en arrière. Sa tête bascule en arrière. Elle est aux anges.

Je saisis un vibromasseur, lui écarte les chairs pour mettre son clitoris à nu et pose directement le petit buzzer directement dessus.

Son corps de déesse se déhanche. Elle adore au point que je sens poindre sa jouissance. Je lui retire immédiatement l'objet.

Je me recule, m'allume une cigarette et contemple sa frustration.

Ce qu'elle est belle !

Ma cigarette terminée je reviens à la charge. Cette fois je me saisis d'un gode.

Je la saisie à la gorge, je lui enfonce le plastique dans ses entrailles. Elle exprime sa surprise par un petit cri aigu. Je comprime sa gorge, juste assez pour ne pas l'asphyxier, et la défonce à coups de membre polyuréthane.

Elle est sur le point de partir vers les firmaments. Je retire soudainement l'objet phallique, et relâche l'étreinte.

Deuxième pause cigarette.

  • Je n'en peux plus, Monsieur. Je veux jouir. Je vous en supplie.

  • Tu veux jouir chienne? Demande-moi de t'enculer.

  • Non.

  • Tant pis pour toi.

Je prends mon temps, je la fais languir. Je retourne auprès de mon jouet favori, ma belle et tendre soumise.

Je lui offre ma bouche. Mes mains derrière ses fesses, je lui bouffe la chatte. Elle est à nouveau sur le point de jouir. Alors que je me retire, elle me hurle :

  • Non ! Je vous en prie! Prenez-moi!

  • Cela ne depent que de toi.

Je me place derrière elle. Lui enfonce a nouveau le gode, juste une fois pour lui rappeler le soulagement que cela lui procure.

  • Non laissez-le! Enculez moi si vous voulez mais laissez-le.

  • Demande le moi. Supplie-moi.

  • Je vous en prie, Monsieur, prenez moi le cul!

Je lèche mon majeur avant de lui caresser les sillons de son anus avec. Je force sa petite porte. Elle se contracte. Mon autre main lui caresse le minou pour la détendre. Ca marche si bien qu il s enfonce en un eclair. Mon index rejoins rapidement mon majeur.

Elle se relache totalement sous les va et vients de mes doigts dans son cul. J'attrape un gode, fin et pas tres long déjà lubrifié. Je le présente. Je continue a lui masser devant tandis que derrière, sous ses encouragements appuyees de ses soupirs et respirations saccadees, le gode la pénètre lentement centimètre apres centimètre.

Je lui maintiens le gode dans ses entrailles le temps qu elle s habitue. Je m agenouille à nouveau devant elle. Je la termine dans un cunilingus accompagné de petits va et vients dans son cul. Elle jouit enfin dans un cri perçant.

Je la détache et l agenouille devant moi. Elle a toujours le gode bien fiché dans son cul.

Je lui retire le bandeau. Je dezippe la braguette, sors mon sexe. Je la saisis a l arrière de la tête. Elle comprend et ouvre sa bouche en grand.

  • N avale pas tant que je ne t en ai pas donne l ordre.

Je me branle, gicle dans sa bouche. Elle attend gueule ouverte mon approbation. Elle n a pas l air dégoûté. Elle s y est finalement habituée, a force de boire mes fioles. Elle semble même plutôt fière de me montrer ses progrès:

  • Avale.

Elle déglutit. Je libère son cul.

  • Je t avais bien dit que tu me supplierais.

  • Oui, Monsieur.

Elle est mignonne quand elle est ainsi gênée, qu'elle baisse la tête, fait sa petite moue et rougit.

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